(extraits du livre la Portée de l’Amour écrit par Robert Lé Dinh en 1983 déposé en 1988)

« Viendra la décadence du temps, nous verrons les saisons déréglées, le froid, le chaud, le vent, la pluie, personne ne reconnaîtra la position des saisons. 

De cette confusion, les saisons seront meurtrières et des rangées d’hommes au chiffre prolongé, s’effondreront, morts de cette perturbation. Ici, ils combattront le chaud, là ils combattront le froid, car les saisons déréglées agiront par leurs excès, l’humain ayant affolé leur mouvement. 

Le froid sera extrêmement froid et frappera là où il n’a jamais encore frappé si fort, le chaud agira encore plus chaud là où il n’a jamais autant chauffé, et si dans un coin, certains mourront de froid, beaucoup mourront de chaleur. 

Le temps ainsi déréglé, gênera l’ensemble des communications, l’électricité elle-même qui passe dans nos fils électriques sera magnétiquement bloquée par les dissociations temporaires et les énergies qui se formeront de l’ensemble de ces mouvements, de ces changements. 

Nous nous trouverons devant l’obligation de nous nourrir de façon limitée, car la pénurie agira de par de ces défaillances saisonnières.

Nous retrouverons alors l’application des tickets de rationnement comme au temps des perturbations guerrières. Les maladies ne seront pas seulement microbiennes, mais s’engendreront d’une union des agents éthérés et chimiques du corps, ce pourquoi le corps médical sera inapte à les contrôler. 

Bien que nous croirons vraiment que ces effets seront d’origine microbienne, effacerions nous le microbe que nous reverrions la maladie frapper ailleurs, notre désespoir. 

Ces maladies seront souvent inconnues et prendront de vitesse le corps médical.

30 ans à l’avance, Tang annonce là clairement, les dérèglements climatiques dont l’ampleur est loin d’être atteinte, et des désastres plus graves que la crise du COVID 19. Car les maladies proviennent non plus des virus, mais d’agents éthérés inaccessibles à la médecine.